logofg

ACTUALITE

La réussite de nos actions collaboratives s’appuie sur nos relais locaux et sur nos Ambassadeurs

Trois mois après son arrivée au sein d’Agir pour le Cœur des Femmes, Christopher Albano, responsable Prévention, fait un premier bilan et annonce quelques perspectives.

placeholder image

Confiez-nous vos premières impressions…
Très positives ! Elles ont confirmé ce que je pensais : Agir pour le Cœur des Femmes est une organisation bien rodée et dotée d’un niveau de professionnalisme particulièrement exigeant. Je connaissais le Bus du Cœur pour l’avoir fait venir à Saintes lorsque je faisais partie de l’équipe de direction du centre hospitalier. Mais intégrer Agir m’a montré à quel point toutes les actions et les communications réalisées ne sont en rien le fruit du hasard, mais bien la concrétisation d’une réflexion aboutie et d’un travail collectif fondé sur une réelle expertise !

Quelles ont été vos priorités ?
Avant tout, mettre sur pied la Journée du Cœur des Femmes. Passer d’une idée à une réalisation concrète et une production opérationnelle. Créer les kits de dépistage, réaliser l’ensemble des documents, trouver un logisticien capable d’acheminer les kits auprès des établissements hôtes... En gérant un timing serré pour que la première édition à Marseille soit une réussite. Nous l’avons fait ! C’est une première petite victoire.

La Journée vient compléter le Bus ?
Nous nous inscrivons dans la continuité du travail entamé avec le Bus du Cœur des Femmes, avec les mêmes objectifs, mais une plus grande souplesse organisationnelle, qui rend l’action plus accessible aux partenaires organisateurs potentiels. Nous avons également travaillé sur le maillage territorial de nos professionnels de santé Ambassadeurs. La réussite de nos actions collaboratives s’appuie sur nos relais locaux et sur nos Ambassadeurs. Je me suis attaché à rendre cela possible.

Quelles sont les perspectives de la Journée du Cœur des Femmes ?
Avec un modèle économique qui s’appuie sur les ressources existantes, tant humaines que matérielles, et qui s’adapte aux contraintes de la structure accueillante, nous visons un large développement, pour mettre la prévention cardiovasculaire à la portée de toutes les femmes qui en ont besoin.

Quels sont les premiers rendez-vous ?
Nous avons tout d’abord cinq premières Journées expérimentales en mars, à Marseille, Nouméa, Issy-les-Moulineaux, Saintes et Wallers-Arenberg près de Valenciennes. Elles vont nous aider à finaliser une organisation, que nous souhaitons être la meilleure, à la fois pour les patientes et pour les professionnels de santé qui nous accompagnent.

Avez-vous déjà planifié d’autres Journées en 2024 ?
Nous sommes en train d’en construire dix autres entre mai et novembre. Nous serons notamment à Brignoles, Metz, Pessac et Gap. Nous n’oublions pas l’Outre-mer et nous travaillons déjà le planning 2025, qui devrait intégrer une Journée du Cœur des Femmes en Guadeloupe et une autre en Martinique.

Quelle est votre vision des partenariats à développer avec les établissements de santé dans le domaine de la prévention ?
Ils ne peuvent plus être seulement des centres de soins, mais aller au-delà et renforcer leur prise en charge en matière de prévention. Un centre hospitalier se doit d’être un acteur global de santé publique. Nous avons un rôle à jouer auprès de lui, pour l’accompagner dans ses initiatives liées à la prévention, car un intervenant extérieur est parfois utile pour mobiliser les énergies en interne. Nous sommes là pour créer une dynamique et assurer un accompagnement organisationnel.


 
VOIR AUSSI
placeholder

Ecoutez vos symptômes

Ecoutez vos symptômes Maladies cardio-vasculaires : les femmes ne doivent pas attendre pour écouter leurs symptômes ! La crise actuelle du Covid-19 fait craindre une recrudescence du nombre d’accidents cardio-vasculaires chez les femmes. Merci à France 3 Hauts de France de nous aider à faire [...]

Lire la suite

placeholder

L’alcool : pas cool !

Santé publique France rappelle le travail d’un groupe d’experts qu’elle a mandaté en 2017 avec l’INCA (Institut National pour le Cancer) sur le sujet des effets de l’alcool sur notre santé. Ce rapport a ainsi conclu qu’il n’était plus possible de parler de seuils de consommation [...]

Lire la suite

placeholder

Bien vivre sa ménopause

La chute des hormones peut déclencher des symptômes très différents d’une femme à l’autre. Et si la ménopause n’est pas une maladie, elle peut exposer à diverses pathologies, dont les maladies cardio-vasculaires. Le dépistage des facteurs de risque est donc un enjeu de santé publique. [...]

Lire la suite

 Votre don permettra d’améliorer
la prévention au moment clef
de la vie d’une femme