Ce n'est pas acceptable : non seulement moins d'une femme sur deux fait la mammographie de dépistage du cancer du sein, mais en plus ces chiffres sont en baisse 46,5 % des femmes âgées de 50 à 74 ans ont réalisé une mammographie en 2023, contre 47,6 % en 2022 !!
Pourtant, 9 cancers du sein sur 10 peuvent guérir lorsqu'ils sont détectés à un stade précoce... Nous avons pourtant la chance de pouvoir bénéficier de cette prise en charge en prévention ! Il est essentiel que chacune d'entre nous se mobilise pour aller faire son dépistage. Qu'attendons-nous pour prendre soin de nous ?
La mammographie doit se faire tous les 2 ans à partir de 50 ans, ou tous les ans selon l’évaluation du médecin ou du gynécologue. 2 cancers du sein sur 3 se développent chez les femmes de plus de 50 ans. La maladie est rare chez les femmes de moins de 35 ans et exceptionnelle chez les moins de 20 ans.
Le cancer du sein touche 1 femme sur 8. Il concerne près de 60 000 femmes par an. Il est essentiel de repérer les premiers signes dès que possible : grosseur nouvelle, au sein ou à l’aisselle, découverte par autopalpation ; modification de la forme ou de la taille du sein ; écoulement par le mamelon ; changement notoire de l’aspect de la peau du sein ou de l’aréole... Parlez-en immédiatement à votre médecin, sans attendre.
Heureusement, toute grosseur n'est pas un cancer ! Sur 5 grosseurs examinées, 4 sont bénignes. Le suivi par votre médecin généraliste ou un gynécologue est très important.
N'ayons pas peur d'apprendre une mauvaise nouvelle, car les traitements sont efficaces. Le pire est de refuser de savoir, car chaque jour compte.
Les facteurs de risque classiques viennent spontanément à l’esprit : sédentarité, tabac, mauvaise alimentation, hypertension, diabète, cholestérol... Les facteurs de risque spécifiques commencent à être davantage pris en compte : âge des premières règles, contraception, nome de [...]
Le cœur est figé, comme paralysé. Top Santé revient sur le tako-tsubo. Cette insuffisance cardiaque aigüe peut survenir lors d’une émotion forte : dispute, rupture, intervention chirurgicale, annonce d’un décès… Si l’on agit vite, elle est réversible après une hospitalisation, un [...]
Un petit déjeuner tôt le matin et un dîner pas trop tardif sont associés à un moindre risque d’accident cardiaque ou vasculaire cérébral. Manger tardivement, après 21h, est associé à une augmentation de 28% du risque de maladie cérébrovasculaire, par rapport à un dernier repas avant [...]