L’activité physique réduit le risque de développer de nombreuses maladies : cardio-vasculaires, cancers, diabète, hypertension artérielle… sans oublier que l'on se sent mieux en bougeant qu'en restant assis en permanence.
Bouger davantage diminue aussi le risque de surpoids et de certains effets liés au vieillissement. Pour les enfants, l'activité physique renforce leur capital santé, qui les rendra plus résistants aux maladies une fois adultes. Petit rappel : les femmes font moins d’activité physique que les hommes.
Comment bouger ?
Pratiquer une activité physique régulière
Marcher ou pédaler au lieu de prendre la voiture
Prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur
Se lever au moins 10 minutes toutes les deux heures
Accompagner les enfants à l’école à pied
Faire du jardinage, du bricolage, du ménage
Acquérir le réflexe de bouger dès que possible, au lieu de rester assis…
Combien de temps ?
Au moins 30 minutes d’activité physique d’intensité modérée 5 fois par semaine permettent de réduire de 35 % la mortalité cardio-vasculaire prématurée.
Le conseil
Faites dès que possible une activité physique pendant 10 minutes ou plus, qui vous fait respirer plus fort, battre votre cœur plus vite et vous réchauffe. Vous devez être capable d’avoir une conversation normale pendant votre activité, sans être essoufflé.
Pour télécharger le document complet
https://www.agirpourlecoeurdesfemmes.com/back/outils/Agir-pour-une-prevention-positive-44-FR.pdf
Lorsque nous sommes en état de stress, nos glandes surrénales s'activent et produisent des quantités plus importantes de cortisol et d'adrénaline, responsables d'une augmentation du rythme cardiaque mais aussi de la pression artérielle. Le cœur des femmes est encore plus sensible [...]
Du 1er au 31 septembre, 20% des ventes du cœur iconique en argent « Cœur Entrelacé » de la Maison seront reversés au fonds de dotation. Les bracelets proposés spécialement pour l’occasion sont trois cordons déclinés aux couleurs d’Agir pour le Cœur des Femmes : rose, rouge ou [...]
Ces études « genrées » sont importantes pour mieux appréhender la médecine préventive chez ces femmes et agir sur leurs comportements de vie. Les modifications des facteurs de risque cardio-vasculaire des femmes ménopausées sont bien connues comparativement aux femmes en activité génitale. [...]